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| VHF: Canal 77 |    | ![]() |
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#1
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Cita:
Saludos ![]() Por cierto, Irens no diseñó Open 60 no?
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bacan d'a corda marsa d'aegua e de sä
che a ne liga e a ne porta 'nte 'na creuza de mä |
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#2
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Nigel Irens no me suena como diseñador de IMOCA's, ni me suena ni lo encuentro con el google
, pero es cuestión de ponerse, a la vista de lo que otros especialistas en multicascos como Marc Van Peteghem y Vincent Lauriot Prévost han hecho con el Safran y el Groupe Bell no parece que de la mesa de diseño de alguien con su experiencia fuese a salir una máquina mala... ![]() ![]() |
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#3
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Cita:
Por cierto, he leído por ahí que Irens es una persona con los pies en la tierra, creo Por cierto, ¿qué carrera siguen los diseñadores de barcos como Irens o Farr? Saludos ![]()
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bacan d'a corda marsa d'aegua e de sä
che a ne liga e a ne porta 'nte 'na creuza de mä |
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#4
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Pues hablando de Finot... el que faltaba, el DCNS para Marc Thiercelin ha sido botado el sábado 30 en Vannes. Construido el casco y montado por Multiplast, la cubierta por Larros, y el mástil por CDK.
![]() http://www.seasailsurf.com/seasailsu....php?breve5145 Amortizando moldes de los otros nuevos Finot, comparte formas de cubierta con el Hugo Boss, aunque llevará "outriggers" es decir grandes crucetas en la base del mástil, en lugar de la configuración de crucetas clásicas que lleva el barco negro. La orza no es de carbono, sino que de un acero especial con un alto límite de elasticidad como el utilizado en submarinos nucleares, y se ha construido con técnicas y útiles especiales de la industria de defensa (creo entender que el patrocinador DCNS pertenece al sector). La ventaja del acero es que permite un perfil mucho más afilado que el carbono, y parece que el hándicap del peso en relación a este es, en este caso, muy pequeña .![]() En esta semana pasará por la pruebas de homologación IMOCA (90º, 180º,...) y el 15 junio se marcha para Boston para hacer las millas necesarias para calificarse. ![]() Más en: http://www.vendeeglobe.org/fr/actual...hiercelin.html http://www.lesfilieresdutalent.com/ ![]() |
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#5
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Para seguir aprendiendo, aunque alguno deba previamente hacerlo con el francés
, os pongo esta interesantísima entrevista a JP Dick (Paprec-Virbac). Lo siento es mucho texto para traducir :http://www.jpdick.com/p-jpdickcompub...select=PAGEBIS[@ID$eq$PAGEBIS_1]|enum_CONCERN&generic1=ARTICLEBIS_342&affp=& "... 30 mai - "Le Vendée, j'y pense tout le temps". C'est la première chronique de Jean-Pierre Dick qui retracera sa préparation jusqu'au départ du Vendée Globe. "Le Vendée, j'y pense tout le temps" Le Vendée Globe, c'est déjà demain! La sixième édition du tour du monde en solitaire s'élancera le 9 novembre des Sables-d'Olonne avec un plateau inégalé d'une trentaine de skippers, la majorité sur un 60 pieds nouvelle génération. C'est le cas de Jean-Pierre Dick, récent vainqueur de la Barcelona World Race, qui disputera son deuxième Vendée Globe. D'ici le 9 novembre, le skipper de Paprec-Virbac 2 nous fera partager le quotidien de sa préparation. Pour cette première chronique, il tire les enseignements de la Transat anglaise. Jean-Pierre Dick, notre chroniqueur jusqu'au Vendée Globe. "Bonjour à tous ! Pour cette première, je vais donc évoquer cette Transat anglaise qui vient de s'achever. L'un des principaux enseignements que j'en retire, c'est d'abord et une fois de plus le constat que nous sommes toujours soumis aux aléas de le mer, on peut tous rencontrer un bout de bois ou des squales, comme l'ont vécu Michel Desjoyeaux et Vincent Riou. Donc le premier objectif de tous ceux qui prendront le départ du Vendée Globe, ce sera de terminer. Il faudra essayer d'être assez malin pour passer outre ces problèmes. Maintenant, cette transat avait davantage un caractère de sprint qu'un Vendée Globe, et je ne suis pas sûr que sur le Vendée, «Mich Desj» aurait abandonné dans les mêmes circonstances, mais je le comprends tout à fait de l'avoir fait dans ce cas précis. Ça amène toutefois à réfléchir sur la façon de continuer la course en mode dégradé, ce qui m'était d'ailleurs arrivé il y a quatre ans lorsque j'avais subi un certain nombre d'avaries, dont une panne de moteur. Maintenant, y a-t-il moyen d'éviter de telles avaries consécutives à des chocs? Pas vraiment, car au-delà d'une certaine vitesse, la casse est inévitable. Dans notre jargon, on appelle cela le «granding»: c'est la capacité du bateau à rester structurellement intact après un choc. Pour nos bateaux, pour un choc avec un caillou, soit la surface la plus dure, la vitesse maxi se situe aux environ de 10-12 noeuds, ce qui est la vitesse moyenne sur un Vendée. Autant dire que dans 60% des cas, un choc avec quelque chose de dur a de bonnes chances de provoquer de la casse. Tout ça pour dire qu'on oublie souvent que la voile est un sport engagé, on a tendance à banaliser la course au large, mais il y a une part de danger constante et ces dangers sont multiples, on prend quand même beaucoup de risques. Et quand il y a sortie de route, on est parfois bien loin de chez nous, c'est douloureux, on souffre vraiment. Sur le dernier Vendée, on ne s'en est pas trop rendu compte parce que les principales avaries ont eu lieu près des côtes, mais parfois, ça peut être bien plus délicat. Maintenant, on peut toujours tenter de renforcer un peu certaines pièces, nous, on a dès le départ effectué des choix assez sages au niveau des matériaux utilisés pour la quille par exemple. On n'a pas trop essayé de contredire nos architectes là-dessus, on a été assez conservateur, et ça marche plutôt bien puisque, avec Loïck (Peyron), nos deux sisterships ((Paprec-Virbac 2 et Gitana 80 ont été dessinés par le même cabinet architectural, Farr Yacht Design, et construits dans le même chantier en Nouvelle-Zélande) ont gagné les trois dernières courses, la Barcelona pour moi, la BtoB et la Transat anglaise pour lui. C'est d'ailleurs quelque part rassurant de voir Loïck gagner cette Transat anglaise, c'est la preuve que nos bateaux sont dans le coup, en tout cas jamais les plus lents. Et celui qui gagnera le Vendée sera celui qui n'aura jamais été le plus lent et qui sera parvenu à limiter au maximum le nombre d'erreurs, ce ne sera pas forcément le plus brillant. Avec Loïck, on a évidemment beaucoup travaillé ensemble sur la conception des bateaux, on continue à communiquer, c'est vraiment un plus d'être à deux, cela ne veut pas dire pour autant que nos bateaux sont strictement identiques. Ça paraît parfois étonnant, vu de l'extérieur, de voir deux futurs concurrents collaborer ainsi, mais nous, on ne se pose pas la question ainsi, on considère davantage cela comme un enrichissement. Maintenant, si on se retrouve l'un bâbord amure, l'autre tribord amure dans le Golfe de Gascogne le dernier jour du Vendée, ce sera sans doute une autre histoire... Pour continuer avec les enseignements de cette Transat anglaise, on constate qu'on a un niveau qui tend et va continuer à tendre vers davantage d'homogénéité. Les nouveaux venus sont de plus en plus performants, à l'image des plans Finot d'Armel le Cléac'h ou Yann Eliès, les plans Farr sont toujours bien placés, je pense que ce sont des bateaux très polyvalents, peut-être pas extrêmes au niveau de la puissance, mais je pense qu'ils sont bien positionnés en terme de plan de voilure. Quand je parle de bateau plus extrême, je pense notamment à Safran (Marc Guillemot) qui est un peu à part, il semble un peu plus léger, apparemment un peu plus véloce, avec une certaine facilité de manoeuvres à bord, il faudra voir ce que cela donnera sur le long terme d'une course comme le Vendée. Mais ces constatations ne me feront pas pour autant changer de ligne de conduite. Le pire pour un sportif, c'est de changer de «politique» en cours de route, tout changer à moins de six mois d'une échéance comme le Vendée, c'est s'éparpiller inutilement. Et en voile, on n'est pas dans un paddock de Formule 1, on n'a pas de bateau de rechange à côté! Voilà, pour finir sur cette Transat anglaise, on constate aujourd'hui que Loïck et Mich Desj font figure auprès des médias de principaux favoris dans la perspective du Vendée. C'est compréhensible, ce sont eux qui ont la plus grande expérience de coureur au large, mais je ne me lancerai pas dans ce jeu de pronostics. Pour ma part, je fais ma route, j'essaie d'être un bon élève, j'ai appris la course au large au côté de Loïck, mais aussi de Mich Desj qui était venu naviguer avec moi sur le Tour de France 2001 et m'avait ensuite loué son PRB pour la Route du Rhum 2002. J'ai aussi appris avec Damian Foxall lors de la dernière Barcelona World Race, j'ai construit mon niveau par petites touches. Je n'ai pas le même cursus d'un Michel Desjoyeaux qui fait de la course au large depuis qu'il a 20 ans, mais je pense avoir effectué un travail de qualité avec mon équipe pour progresser et en arriver où j'en suis aujourd'hui. Et après tout, ne pas faire partie des grands favoris ne me gêne pas du tout, je laisse la pression aux autres. Et la pression, elle va sans doute monter en six mois. Mon état d'esprit aujourd'hui ? C'est un peu difficile à décrire, j'arrive d'un tour du monde et il me faut repartir sur un autre, je suis dans une courbe de redécollage. Tout ça demande une sacrée abnégation, car ce Vendée est un projet très prenant, j'y pense quand je mange, j'y pense quand je dors, j'y pense tout le temps, ça peut devenir usant à la longue et je comprends parfaitement les gens comme Laurent Bourgnon ou Ellen MacArthur qui, à un moment, ont éprouvé le besoin de souffler. Là, je ne me sens pas encore complètement sorti de mes trois mois de Barcelona, je ne suis pas à 100% de mes capacités, il y a de la fatigue physique et mentale que je dois évacuer. Mais j'y travaille et la mise à l'eau prochaine du bateau va me permettre de renaviguer, ce qui est quand même l'essence de mon métier. On en reparle, d'ici deux-trois semaines. A bientôt." Jean-Pierre Source : Sports.fr / Axel Capron ..." ![]() |
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#6
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Lo mas destacable de lo que cuenta Dick para mi es que tres meses despues de terminar la B2B todavia no se siente recuperado del esfuerzo fisico y mental anterior, y volver a empezar con el mismo plan dentro de poco le tiene algo pensativo, prq revela que los Imoca tienen un techo de grounding contra un obstaculo fijo sin desintegrarse y que la estructura del casco se mantenga a flote, de unos 10-12 nudos, promedio de velocidad en una transoceanica, y los riesgos a correr son muy grandes e imprevisibles en el mar, y tanto mas letales en esos tramos cuanto mas lejos de Tierra.
Apunta tmb la confianza que le dan los probados y ganadores diseños Farr que evolucionan constantemente en confiabilidad, frente a los ultimisimos mas ligeros y radicales pero sin mucha fiabilizacion real en condiciones de carrera. ![]() ![]()
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..la lontananza sai
é come il vento che fa dimenticare chi non s'ama.. spegne i fuochi piccoli, ma accende quelli grandi Editado por malamar en 02-06-2008 a las 20:22. |
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#7
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Por la informacion Pons y a ti malamar por la traducción simultanea resumida que nos has aportado ![]() Un saludo y ![]() Rasca |
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