![]() |
|
|
|
| VHF: Canal 77 |    | ![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
#526
|
||||
|
||||
|
Asi navega el Hugo Boss
http://www.vendeeglobe2008.tv/direct...=MAN4552713805 bellas imagemes del verandas http://www.vendeeglobe2008.tv/direct...=MAN4552713805 Vendée Globe 2008/2009 Communiqué de presse 03 novembre 2008 J-6 : En préparation aux Sables d’Olonne La tête dans les nuages À six jours du départ du Vendée Globe, le ciel commence à s’éclaircir tant aux Sables d’Olonne ce lundi avec une nette amélioration du temps pour mardi, que pour le jour du coup de canon : les skippers sont désormais plongés dans les fichiers pour prendre le rythme d’un vent qui s’annonce contraire dans le golfe de Gascogne dimanche prochain... Quelle météo est prévue pour le week-end du départ du Vendée Globe sachant que l'automne est déjà installé depuis un mois et demi ? D’ors et déjà, une grosse, très grosse dépression va intéresser l'Outre-Manche avec plus de quarante noeuds sur l'Irlande samedi soir... En conséquence, Les Sables d'Olonne seront sur la bordure Sud de cette perturbation qui se déplacera rapidement vers l'Est : une belle journée samedi avec de la douceur, sous un flux léger à medium de secteur Sud-Ouest et un ciel encore bien dégagé. Puis un peu d'humidité dans la nuit de samedi à dimanche au passage d'un front en phase de dégénérescence : dimanche s’annonce donc agréable mais tout de même modérément venté devant les Sables d'Olonne avec une quinzaine de noeuds de secteur Sud-Ouest, une belle houle du large et un ciel mitigé. Mais les températures seront encore très agréables pour une sortie en mer. Premier passage à niveau Pour les trente solitaires, l'entrée en matière sera donc modérément douce puisque c'est au près, à tirer des bords dans le golfe de Gascogne que ces premières heures de course devraient se dérouler. Vingt noeuds, vingt-cinq noeuds de secteur Sud-Ouest à Ouest à affronter la première nuit, mais cette brise mollira progressivement en tournant à l'Ouest avant le lever du jour. Pas de grandes options tactiques à attendre mais un sacré passage stratégique au cap Finisterre programmé pour mardi : un anticyclone s'installe au large du Portugal et la brise devrait être plutôt molle pendant quelques heures au large de Porto... Une première barrière météorologique ? Une première hiérarchie avant les Canaries… Chenille processionnaire Pour la sortie des bateaux dimanche 9 novembre au matin, la Direction de Course du Vendée Globe a organisé un briefing ce lundi avec tous les skippers pour expliquer le processus du départ du ponton, les zones d’exclusion, les moyens techniques mis en oeuvre, les consignes de sécurité. Les trente bateaux ont en effet deux heures pour embouquer le chenal de sortie du port des Sables d’Olonne, aidé par les pneumatiques de chaque équipe, les soixante Zodiac affrétés par l’organisation étant dédiés à la sécurité des zones d’évolution. Dee Caffari ( Aviva) sera la première à former la procession à 9h15 précise, puisque tous les autres monocoques suivront avec quatre minutes de décalage. Le dernier à larguer les amarres sera Roland Jourdain (Veolia Environnement) à 11h11 : les équipes techniques pourront rester à bord afin de donner un coup de main aux solitaires jusqu’à quatre minutes avant le coup de canon tiré par Patrick Poivre d’Arvor à 13h02… Les voix du large… Mike Golding ( Ecover 3) : « Pour être honnête, je ne suis vraiment pas aussi bien préparé (qu’il y a quatre ans). Je pense que nous avions beaucoup plus navigué avant notre précédent tour du monde, de même que lors de ma première participation au Vendée Globe. De ce fait, je me sentais beaucoup plus à l'aise avec le bateau que cette fois-ci. Ce bateau nous a posé pas mal de problèmes depuis le début… » Catherine Rouge, responsable de l’avitaillement de Bernard Stamm ( Cheminées Poujoulat) : « On part sur 90 jours, soit 13 semaines, trois repas et trois collations par 24 heures. Je vais prévoir des petits plus, comme trois petites boîtes de thon et trois de pâté Hénaff avec un peu de pain, plus deux petits pots de miel. Bernard sera au Cap Horn vers le 57ème jour de course. Je prévois donc 30 jours tempérés, 15 jours chauds à très chauds et 45 jours froids. » Armel Le Cléac’h ( Brit Air) : « Les premiers jours de course, on risque de partir avec une petite dépression. Cela veut dire du près pour ‘dégolfer’ (sortir du golfe de Gascogne). Il devrait y avoir un peu de vent : ce sera une bonne mise en jambe, sans round d’observation. On sera pris directement dans des conditions un peu physiques : il y aura de la mer, ça va taper et ce sera humide. À cette époque de l’année, ce scénario n’est pas très surprenant… » Échos des pontons… Jury International Pour juger les cas de protestation selon les règles éditées par l’ISAF (instance suprême de la voile dans le monde), un Jury International a été nommé : il rend ses jugements le plus rapidement possible en communiquant par mail avec le (ou les) concurrent(s) si nécessaire. Ce Comité de Protestation est président par Bernard Bonneau (FRA), secondé par le vice-président Christian Peyras (FRA) et assisté par Ion Echave (ESP), Trevor Lewis (GBR), Jean Vermant (BEL). Les sorties du jour Cinq skippers ont demandé une autorisation de sortie pour valider des voiles, de l’électronique, le gréement, les systèmes de communication… ou simplement pour emmener des invités : Yannick Bestaven ( Aquarelle.com), Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat), Steve White (Spirit of Weymouth), Alex Thomson (Hugo Boss) et Sébastien Josse (BT). Le mot du tour… Nom de nom ! Le vrai nom de baptême de Cheminées Poujoulat est en fait celui que lui donna son premier propriétaire, Jean-Pierre Dick en 2004 : « il l’avait baptisé « Absolute Dreamer » (le rêveur absolu) et je n’ai pas eu le courage de changer de nom : il paraît que ça porte malheur ! » précise Bernard Stamm. Pour plus d’informations : www.vendéeglobe.org Photos et vidéos libres de droit disponibles dans l’espace presse du site Internet du Vendée Globe 2008/2009 (enregistrement préalable) : http://www.vendeeglobe.org/fr/espace-presse.html.
__________________
![]() el primer beso siempre se da con la mirada
Editado por Fareraa en 04-11-2008 a las 09:43. |
|
#527
|
||||
|
||||
|
Cita:
Me llama la atención la calidad de los vídeos, debe de haber cambiado algo ya que antes, además de en una pantalla más pequeña, la resolución era peor... la Vendée como simpre dando ejemplo ![]() ¡qué decir del Hugo Boss a ese ritmo! ¡Vivan los tecnicos en composite franceses! ![]() ¡Sólo 5 días y mañana tendré ADSL también en casa para poderlo seguir desde alli! ![]() Esta ronda la pago yo ![]() |
|
#528
|
||||
|
||||
|
Pavor...Pons con doble ADSL...taremos sobreinformaos
![]() noraguena ![]() ![]()
__________________
..la lontananza sai
é come il vento che fa dimenticare chi non s'ama.. spegne i fuochi piccoli, ma accende quelli grandi |
|
#529
|
||||
|
||||
|
Dia "D" menos 5
![]() Que se sentirá, en que piensa un hombre o una mujer que dentro de 5 días va a ponerse adar la vuelta al mundo en solitario y sin escalas. Están todos locos o su preparacion mental está tan por encima de la nuestra que nos llevan dos vueltas de ventaja ?A estas alturas están ya resignados y entregados o siguen "rucandose" la cabeza con cositas que van surgiendo? Una vez mas por todos ellos ![]()
__________________
![]() las autoridades nauticas advierten: navegar perjudica seriamente a su bolsillo ![]() ![]() |
|
#530
|
||||
|
||||
|
Cita:
malamar, aunque quizá he tenido la sensación de hacerme el empalagoso y un poco monologísta en algún momento, cada vez hacen falta menos respuestas mías para que en el hilo aparezcan nuevas páginas, se acerca la salida y somos muchos los que tiramos del carro que en cinco días correrá cuesta abajo ... empujado por otros 30 pirados con sus locos cacharros ¡a disfrutarlo! ![]() ![]() |
|
#531
|
||||
|
||||
|
habeis visto el palmarés del menda este?
http://www.vendeeglobe.org/en/editio...ck-peyron.html de impresión, la verdad es que llevo ya semanas viendo y hurgando en la web y no hay quien se la termine, la hostia si tiene cosas ![]() ![]() ![]() |
|
#532
|
||||
|
||||
|
como puedes llamarle a Loick Peyron "el tio este"
![]() ![]() Si es el mas grande vivo y en activo !! ![]() ![]()
__________________
..la lontananza sai
é come il vento che fa dimenticare chi non s'ama.. spegne i fuochi piccoli, ma accende quelli grandi |
|
#533
|
||||
|
||||
|
Cita:
Saludos ![]()
__________________
bacan d'a corda marsa d'aegua e de sä
che a ne liga e a ne porta 'nte 'na creuza de mä |
|
#534
|
||||
|
||||
|
aupa Unai!!!!!
|
|
#535
|
||||
|
||||
|
AUPA!!!!! ![]() ![]() ![]() ![]() estos de Telefónica me habían prometido que ayer me llegaba el router, pero ná de ná , espero que al menos lo tenga para el fin de semana .Es que cuanto más busca uno favoritos, más se dá cuenta lo imposible que es, ni tan siquiera hacer una lista con 5 posibles candidatos: ¡¡¡ habría que hacerla con ¿15? como mínimo para no fallar !!! Y si nos fijamos en las monturas, la estadística dice que ganará un "Finot", aunque la mayoría de los contendientes más solventes van en "Farr"... y quién sabe si se colará un "Owen Clarke", un "VPLP-Verdier", un "Rogers Yacht Design"... o un "Juan K" ![]() ![]() |
|
#536
|
||||
|
||||
|
Cita:
Tengo mucha, pero que mucha curiosidad por ver como funciona el Pindar, diseño de Juan K. Parece, por los resultados, que para los VOR 70 ha dado en el clavo del diseño. Veremos a ver que pasa con el 60 pieses .Me voy el Viernesssssssss ![]()
__________________
![]() las autoridades nauticas advierten: navegar perjudica seriamente a su bolsillo ![]() ![]() |
|
#537
|
||||
|
||||
|
Ronda para todos
![]() Guiandome solo por lo visto en la velux, mi apuesta va por Bernard Stam, fue alucinante como navego el tio!!! ![]() Ya se que no me puedo guiar solo por eso, pero es una apuesta, no? Y puestos a perder dinero, si falla Stam, apuntarme a Unai, a ver si da la campanada!!! ![]() No se los regatistas, pero yo estoy deseando que empiece yaaa!! ![]() Ururdin ![]() |
|
#538
|
||||
|
||||
|
Buenas, a mi tambien me apasiona esta regata. No se si se ha puesto ya este link: http://www.tvvendee.fr/tvvendee.htm . en caso negativo me ofrezco (para los que no entienden el frances) para resaltar lo interesante y curioso de algunas entrevistas.
![]() Mis 5 Favoritos en ningun orden: Michel Desjoyeaux, loick Peyron, Vincent Riou, Roland Jourdain y Jean le Cam.
__________________
"No creo en la superstición porque trae mala suerte" -Michel Desjoyeaux- |
| Los siguientes cofrades agradecieron este mensaje a Sailor | ||
maka (05-11-2008) | ||
|
#539
|
||||
|
||||
|
Cita:
![]() ![]() ![]() A tu salud Sailor ![]() ![]() ![]()
__________________
Otro mundo es posible ... HAGÁMOSLO !!! |
|
#540
|
||||
|
||||
|
__________________
Otro mundo es posible ... HAGÁMOSLO !!! |
|
#541
|
||||
|
||||
|
Una odisea del siglo XXI
Más de 2.000 montañeros han ascendido al Everest. Pero sólo 41 navegantes solitarios han completado una Vendée Globe, la vuelta al mundo sin escalas ni ayuda externa JULIÁN MÉNDEZ BERNARDO CORRAL ENVIADOS ESPECIALES A LES SABLES Pete Goss acude al rescate de Dinnelli, que aguarda en una balsa salvavidas, después de que su barco se hundiera en los mares antárticos en 1996. / AP GRÁFICO: ISABEL TOLEDO El británico Tony Bullimore, en la popa de su velero con la orza rota y volcado en el pacífico en la Vendée Globe de 1996. /AFP Sir Robin, el primer hombre que dio la vuelta al mundo en solitario, con Basurko, que tomará la salida el domingo en Les Sables. ganó la primera Vendée Globe. / AFP era líder en 1969 cuando decidió navegar hacia Tahití, a donde llegó tras permanecer 10 meses en alta mar. / AFP ganó la primera Vendée Globe. / AFP era líder en 1969 cuando decidió navegar hacia Tahití, a donde llegó tras permanecer 10 meses en alta mar. / AFP era líder en 1969 cuando decidió navegar hacia Tahití, a donde llegó tras permanecer 10 meses en alta mar. / AFP<< 12345 >> El 26 de noviembre de 1989, trece patrones tomaron la salida desde el puerto francés de Les Sables d'Olonne para la regata con las reglas más sencillas del mundo: un barco, un hombre, alrededor del mundo, sin escalas ni ayuda externa. Detrás, un juego a vida o muerte a través de 22.000 millas náuticas de pura aventura. La idea no era nueva. En 1968, el periódico británico 'Sunday Times' había lanzado un reto idéntico. Así nació The Golden Globe Challenge. Bien es cierto que las reglas eran algo más laxas. Se podía zarpar desde cualquier puerto de Gran Bretaña, a elegir, y los marinos podían hacerlo el día que les viniera en gana a lo largo de tres meses. De los ocho participantes que tomaron la salida entonces, sólo uno, sir Robin Knox-Johnston conseguiría acabar la regata tras pasar 312 días en el mar. Su barco, el 'Suhaili', de 9,7 metros, completó la vuelta al mundo a una media de ¡3,6 nudos de velocidad! La verdad es que sir Robin ganó porque fue el único que acabó la regata. Bernard Moitessier, el francés que lideraba la prueba, decidió, casi a la vista de Europa, seguir navegando hacia Polinesia a bordo de su 'Joshua'. Moitessier era un aventurero místico plantado en mitad de un velero. De aquel viaje nació 'Un vagabundo en los mares del Sur', el delicioso libro de cabecera de los que sueñan con largar amarras. Pero aquella primera vuelta al mundo en regata serviría también para demostrar que el mar no tiene piedad y que desenmascara rápido a los impostores. Donald Crowhurst era su nombre. Crowhurst, animoso, pero novato, construyó un trimarán y se apuntó a la prueba. Ya en el Atlántico se dio cuenta de que jamás podría enfrentarse a los mares antárticos. Pasó semanas en el Atlántico Sur y mandó decenas de falsos informes por radio en los que relataba navegaciones ficticias. Entonces no había controles por satélite que revelaran su posición y no hubo sospechas. Hasta que un día, Crowhurst entendió que su travesía imaginaria jamás resistiría un análisis en tierra. Siete meses después de salir de Inglaterra se arrojó al mar. Su barco apareció a la deriva, con la mesa de cartas repleta de anotaciones de un hombre que descendía a los abismos de la locura. Veinte años después, durante una escala de la BOC en Río, tres marinos (Bernardin, Reed y Jeantot, que había ganado dos veces la prueba) decidieron retomar el desafío. Y fundaron el mito. Aquella primera edición fue ganada por Titouan Lamazou, dibujante y marino formado junto a Eric Tabarly, el armador de los 'Pen Duick'. Lamazou empleó 109 días y 8 horas en dar la vuelta al mundo (a 9,49 nudos de media) y estableció un nuevo récord mundial. Una prueba extrema Ya desde su primera edición, la Vendée demostró que era una prueba extrema para barcos extremos como tablas gigantes de wind surf y hombres de hierro. Cerca de Buena Esperanza, el barco de Philippe Poupon volcó y no logró adrizarse. 'Pilou' hizo todo lo posible para que el barco recuperara la estabilidad, pero tuvo que activar su baliza Argos. Loïck Peyron escuchó su llamada y se dirigió al rescate: «no sé si 'Pilou' ha naufragado, me esfuerzo por mantener el optimismo. Navego con vientos de 35 nudos y lo tengo que tener por proa, en medio de mi derrota. Al llegar, puse tres rizos... Le grito y aparece vestido con su traje de supervivencia. Me lanza un cabo. Después de 24 horas de trabajo, el barco se adriza». Poupon abandona, arma un aparejo de fortuna y pone rumbo a Ciudad del Cabo. Yves Terlain, otro participante, rompe el palo y vuelve a casa, igual que Guy Bernardin, que debe entrar en la isla australiana de Hobart con una grave infección en la boca. El americano Mike Plant rompe el barco y debe recalar en Nueva Zelanda... La Vendée Globe ha tejido su fama con episodios ligados a un sufrimiento extremo y a una solidaridad sin límites (la del que pone en juego su propia vida para salvar otra). Pete Goss volvió sobre su rumbo en la edición 96-97 para rescatar a Raphaël Dinnelli, que navegaba fuera de competición y se hundía. En la tercera edición hubo nada menos que tres barcos que se pusieron quilla al sol en los mares antárticos. Sus patrones fueron salvados in extremis por rescatadores australianos. La muerte también ha ayudado a fraguar la leyenda de la Vendée del mismo modo que los congelados del K-2 o del Kachenjunga. El americano Mike Plant (que había abandonado en la primera edición) desapareció en noviembre de 1992 en el Atlántico cuando se dirigía a Les Sables para participar en la regata. Su barco, el 'Coyote', fue localizado, vacío, el mismo día de la salida. Cuatro días después, el británico Nigel Allan Burgess cayó al mar en el Golfo de Vizcaya, cuando un temporal desbarató a la flota y obligó a varios veleros a regresar a puerto para reparar sus averías. Él apareció embutido en su traje de supervivencia, boca abajo, muerto. El barco, con la génova rota y con mucha agua dentro, aún se mantenía a flote. Se supone que una ola debió barrerle de la cubierta. El canadiense Gerry Roufs desapareció en enero de 1997 en el Pacífico Sur y su cuerpo nunca fue recuperado; el barco 'Groupe LG2'apareció a la deriva en las costas de Chile meses después. Material de pesadilla La Vendée Globe está hecha de este material de pesadilla. De tipos como Yves Parlier, que coció él mismo un palo de carbono después de romper el suyo y completó la vuelta al mundo comiendo algas y plancton porque había acabado sus reservas de alimentos. Su figura en la llegada de Les Sables recordaba a los marinos famélicos y desdentados por el escorbuto que desembarcaron en Sevilla con Juan Sebastián Elcano. Más de 2.000 montañeros han ascencido al Everest. Pero sólo 41 navegantes solitarios han completado una Vendée Globe. «Para hacerlo, sobre todo hay que tener ganas. Ese es el único motor. Nadie nos obliga. Ir tan lejos sin motivación es peligroso. Si le soy sincero, creo que tampoco arriesgamos tanto... La Vendée es una competición con sus normas, no una aventura, aunque eso es lo que cree todo el mundo», declaró a EL CORREO Michel Desjoyeaux, ganador de la cuarta edición. La leyenda de Ugarte Así es la leyenda. José Luis de Ugarte forma parte de ella. Vio la muerte entrando a borbotones por una vía de agua abierta en su barco el 18 de enero de 1993 y pensó, más que en otra cosa, en Edith, su esposa, paseando por Las Arenas «tropezándose con mujeres que le dirían: 'por lo menos tu marido ha muerto haciendo algo que le gustaba». «Me reí mucho pensando en esa escena», recordaría Ugarte aquellas horas ante este reportero. «Debe ser un momento sublime para los marinos percibir que un peligro inmediato está remitiendo, que parece que esta vez vivirán... Constatar que se va a sobrevivir debe de ser una liberación gloriosa", escribe el novelista Derek Lundy. Porque a estos marinos, dice, les pasa como a los veteranos de guerra. Cuando están en mitad del fregado sólo piensan en volver a casa; pero en cuanto regresan al hogar su único pensamiento es volver a navegar en los mares antárticos para cabalgar sobre las olas (como edificios de cinco pisos de altura) en los inmesnos océanos del Sur, a 25 nudos. Solos. Y libres.
__________________
![]() el primer beso siempre se da con la mirada
|
| 2 Cofrades agradecieron a Fareraa este mensaje: | ||
Hijo del viento (06-11-2008), MONTY (07-11-2008) | ||
|
#542
|
||||
|
||||
|
El hogar de los solitarios
Miles de personas recorren cada día los pantalanes de Port Olonna donde permanecen amarrados los treinta veleros de la regata JULIÁN MÉNDEZ / BERNARDO CORRAL | ENVIADOS ESPECIALES A LES SABLES Stamm firmó autógrafos a los aficionados que se acercaron a su barco en los pantalanes de Les Sables. Un operario revisa uno de los Open 60.<< 12 >> Es la pasarela de los veleros. Alineados banda con banda, una treintena de Open 60 preparados para dar la vuelta al mundo estallan de color en los pantalanes de Port Olonna, en Les Sables d'Olonne. Esta localidad francesa, próxima a la punta más al oeste de ese hexágono que es Francia, acoge desde 1992 la más prestigiosa de las regatas a vela para navegantes solitarios. Les Sables es algo así como el hogar de los solitarios, el lugar del mundo donde, es posible, más gente conozca de qué trata su oficio. Clases escolares, jubilados (muchos jubilados), aficionados y neófitos se apiñan en los muelles con suelo de teca para paladear las formas y los colores de estos barcos únicos. «Aquí hay de todo. Barcos rápidos, lentos, caros y baratos, viejos y de última generación», explica Jeff, jefe del equipo de tierra de Bernard Stamm, ganador en Bilbao de la regata Velux 5 Océanos y uno de los favoritos para hacerse con uno de los puestos de cabeza en esta edición. En Francia, los patrones solitarios son tipos muy populares. Ayer se vio bien a las claras con el simpático Stamm («recuerdos a Bilbao», apuntó el navegante suizo) y con Marc Thiercelin. Al menudo Thiercelin (sorprende que un hombre de su complexión y de su talla sea capaz de gobernar uno de estos desbocados veleros de carreras) le asaltaron para que firmara autógrafos y carteles en cuanto se acercó a su barco. Alex Thomson, patrón del Hugo Boss, inspeccionaba durante la tarde de ayer sobre el terreno las reparaciones a que está siendo sometido su barco después de que fuera abordado por un pesquero en la entrada misma a Les Sables. Media docena de miembros de su equipo remachaba, apretaba y cambiaba cabos sobre el barco pintado de negro. Thomson permaneció largos minutos sobre el costado de babor inspeccionando la zona del impacto, justo bajo los obenques que sostienen el mástil. Sus movimientos eran seguidos con interés evidente por un grupo de personas, atraídas por esa especial atracción que despiertan los barcos heridos. «Qué idea, hacer un barco negro para el mar», comentaba en voz alta una venerable señora junto al monocasco del elegante Thomson. Les Sables tiene estas cosas. Prueba de mar En el pantalán de enfrente, el 'Pakea Bizkaia' de Unai Basurko concitaba también las miradas de los visitantes que se detenían ante el cartel que explica el compromisio medioambiental del Proyecto Pakea. El velero patroneado por Basurko salió ayer de su pantalán a las 8.30 de la mañana para una prueba de mar. Permaneció tres horas y cuarto navegando por los alrededores del puerto de Les Sables y regresó a su amarre cerca del mediodía. Basurko pasa los días previos a la salida completando su entrenamiento físico con recorridos en bicicleta. Ayer por la tarde tocó natación, unas decenas de largos en una piscina cercana al alojamiento del equipo del 'Pakea Bizkaia'. En un día frío y cubierto, los colaboradores de los patrones ascendían hasta los últimos pisos de crucetas para supervisar el estado de los cabos y de las poleas de los que depende el resultado deportivo (y hasta la vida) de sus patrones. Port Olonna es un completo repertorio de los barcos y de la capacidad presupuestaria de quienes los arman. Hay veleros con dos vueltas al mundo entre las cuadernas (como el Samantha Davies) y otros nuevos de trinca, salidos de la mesa de diseño de Bruce Farr. La salida de la regata, prevista para las 13.02 horas del próximo domingo, congregará en Les Sables a más de 100.000 espectadores. La vuelta al mundo para navegantes solitarios que zarpa del puerto francés se convierte de este modo en la celebración deportiva del mundo de la vela que adquiere tintes más multitudinarios.
__________________
![]() el primer beso siempre se da con la mirada
|
| Los siguientes cofrades agradecieron este mensaje a Fareraa | ||
maka (06-11-2008) | ||
|
#543
|
||||
|
||||
![]() http://www.bymnews.com/photos/displa...883&fullsize=1 ¿un gemelo del Mutua Madrileña/ex ECOVER II? ![]() Quizá, es el Spirit of Canada de Derek Hatfield ![]() ![]() |
|
#544
|
||||
|
||||
|
Cita:
![]() ![]() http://www.bymnews.com/photos/displa...222&fullsize=1 ![]() |
|
#545
|
||||
|
||||
|
Cita:
Seis días después de la llegada de Nandor Fa que estuvo pendiente cuando José Luis tuvo la vía de agua. Salimos a su encuentro bajo un cielo gris, muy gris... por radio daba su posición y rumbo pero no le veiamos... finalmente "El Viejo" atravesando el telón de la niebla apareció en escena ![]() ![]() ![]() Este fue el momento: ![]() Cuando vimos la mayor ... ![]() ![]() ![]() Hoy al leer en el post de Fareraa ese comentario hacia Jose Luis me he acordado de la anécdota y de la foto. Y si me perdonáis un momento quisiera hacer un brindis porque hoy Jose Luis cumpliría 80 años... Allá donde estés Felicidades Jose Luis, este brindis va por ti ![]() Y a los 30 participantes de la Vendee cuando naveguen por los mares del sur que tengan presente el inspirado poema de la Sra. Sara Vial de los Heros, dedicado al albatros del Cabo de Hornos... "Soy el albatros que te espera en el final del mundo, Soy el alma olvidada de los marinos muertos, Que cruzaron el Cabo de Hornos, Desde todos los mares de la tierra. Pero ellos no murieron en las furiosas olas, Hoy vuelan en mis alas, Hacia la eternidad, En la última grieta de los vientos antárticos” . |
|
#546
|
||||
|
||||
|
Cita:
![]() ![]() ![]()
__________________
![]() el primer beso siempre se da con la mirada
|
|
#547
|
||||
|
||||
|
Buenas.
¿No hay manera de seguir la salida en directo? PD: Sigo buscando sobre la historia de Yves Parlier en la VG 2000, ¿alguien tiene algo? ![]() ![]() ![]() ![]() :bor racho:![]() Aupa Unai... Y suerte a Dinelli. ![]() ¿Podemos empezar a hacer apuestas? Si es asi yo voto por Vincent Riou... ![]()
__________________
bacan d'a corda marsa d'aegua e de sä
che a ne liga e a ne porta 'nte 'na creuza de mä |
|
#548
|
||||
|
||||
|
Por Roland Jourdain
![]()
__________________
~~~~_/)~~~~ Buenos vientos Si funciona No Lo Toques!
|
|
#549
|
||||
|
||||
|
Cita:
He encontrado esto, con las fotos del apaño... impresionante una vez más. http://www.seaandco.net/en/thumbs.ph...=smenu2&stat=1 Por cierto a los demás cofrades, menuda página, montones de fotos de todo tipo de barcos y de una gran calidad (aunque no el tamaño).
__________________
Mario. |
| Los siguientes cofrades agradecieron este mensaje a mario147 | ||
Pons Minei (07-11-2008) | ||
|
#550
|
||||
|
||||
|
Cita:
http://www.masmar.com/articulos/art/23,81,1.html El pasado 18 de diciembre (de 2001), cuando encabezaba la flota de 24 veleros, rompió el mástil, una gigantesca pieza giratoria de 25 metros de altura confeccionada en carbono. «Estoy bien. No necesito ayuda», dijo por radio a Philippe Jeantot, el organizador de la Vendée Globe. El percance le sucedió en mitad del Índico, un mar terrible con borrascas eternas, olas de más de quince metros, vientos constantes de 50 y 60 nudos, hielos a la deriva y temperaturas bajo cero. Un escenario que no podemos ni imaginar los terráqueos, el lugar donde hasta el hombre más templado perdería la calma. Pero no Yves Parlier. Este ingeniero en materiales compuestos logró repescar un par de fragmentos del palo, los embarcó a bordo y se puso a rumiar una solución, zarandeado por el temporal. Entre los navegantes, a Parlier le conocen como ‘Mac Gyver’, ya saben, aquel tipo rubio de la televisión que se construía un bulldozer con una caja de cerillas y un poco de alambre. Parlier iba a hacer honor al apodo y a una máxima no escrita entre los marinos solitarios, una especie de código de honor: Ser capaz de solucionar cualquier problema por uno mismo, sin ayuda de nadie. Vencer o morir. Entre los regalos que Isabelle, su esposa, había guardado en el 60 pies de Parlier para que los abriera por Navidades, viajaba una enciclopedia del mundo en CD rom. Allí encontró Parlier parte de la solución al enigma: se dirigiría a las islas Stewart, en el sur de Nueva Zelanda, y fondearía allí, en una ensenada tranquila con buenos fondos de arena. El ‘Aquitaine Innovations‘ ya no planeaba como en el terrible Sur a más de 30 nudos. Con cuatro rizos en la mayor (toda la vela que podía izar en lo que quedaba de palo) y un tormentín a proa, enfiló el nuevo rumbo. Andaba a unos siete nudos de media. El 8 de enero fondeó. Pero garreó, y 60m pies varó. Entonces Parlier se construyó un pequeño chinchorro con dos cajones de plástico a los que trincó unos depósitos de combustible (las normas de la regata permiten cualquier arreglo siempre que no se acepte ayuda exterior o se desembarque en tierra más allá de la línea de la última pleamar), se vistió con su traje de neopreno rojo y tiró del barco con la marea alta hasta ponerlo a flote. Luego fondeó otro ancla, largó algunas amarras a tierra y ayudandose con los winches, inició los trabajos. Serró y pulió los fragmentos, diseñó una abrazadera de carbono para unir los dos trozos del palo y preparó la resina de fibra que daría rigidez a la unión. Encerró los fragmentos en una caja de plástico, les aplicó el calor de cinco bombillas y de su cámping gas y logró cocer un nuevo palo de 18 metros de alto que colocó en el casco ayudándose de la botavara, a guisa de palanca, y de sus brazos, un trabajo para el que habitualmente se usa una grúa hidráulica. Hizo varias pruebas. ¡El invento funcionaba! El barco navegaba bien y rápido. Y volvió a la regata un mes después del accidente. Eso sí, sin camping gas para calentar su comida liofilizada. Y, lo peor, a medida que pasaban los días, le quedaban cada vez menos alimentos en la gambuza. Las limitaciones de peso en estos barcos de competición son tan extremas (hay navegantes que sierran por la mitad el mango de sus cepillos de dientes para ahorrar peso) que las raciones que se embarcan están pensadas al detalle. Apenas para 115 días de regata, un 10% del tiempo empleado por Christophe Auguin, el ganador de la edición anterior con 105 días. «Como un bebé» «Me alimento como un bebé», bromearía Parlier sobre su gazuza poco después. Redujo su dieta a unas 800 calorías diarias. Pidió a Jeantot permiso para abrir la balsa de supervivencia y extraer anzuelos y una línea de nylon. Largó un curricán por la popa, pero los peces raramente entran a un señuelo que se mueve a más de 10 nudos. Al doblar el cabo de Hornos, la situación era dramática. Parlier había acabado hasta con su chocolate (es un tremendo goloso) y empezaba a sentir los mordiscos del hambre. Paladeó las últimas tabletas de sus raciones de supervivencia y volvió a poner en marcha su ingenio. Con una bolsa de velas preparó a proa un ingenio para atrapar el ‘krill’ que embarcaba con los rociones. Y, cada mañana, paseaba ansioso por el barco para recoger los minúsculos peces voladores que saltaban sobre la cubierta. También empezó a recolectar algas y a colgarlas del guardamancebos para comerlas una vez secas. Mientras, enterados de sus penurias, sus admiradores y seguidores empezaron a hacerle llegar por Internet recetas para cocinarlas. Cocina oriental, recetas tailandesas para cocinar con agua de mar los frutos de su cosecha. «Sigo un régimen drástico. Pescado y algas. Algas y pescado», se sonreía el marino de Versalles. «El doctor Chauve me dice que las algas son buenas, que contienen calcio, potasio, proteínas y vitamina B12 y que son ricas en yodo. Pero me advierte -comunicó Parlier en una ocasión- que si tomo grandes cantidades, pueden causarme desarreglos en la glándula tiroides». Filetes en los obenques Hambriento, solitario y renqueante a consecuencia de un accidente de parapente al que sobrevivió de milagro y en el que se fracturó una pierna, la estima de Parlier crecía, día a día, a los ojos del mundo. Había marinos que le hacían llegar la posición de un banco de dorados en el Atlántico para que pescase. «¡He conseguido un hermoso ejemplar de cuatro kilos! He hecho filetes y los he puesto a secar de los obenques... Ahora me voy a hacer un calzón con piel de dorado y una peluca de algas. Y, si encuentro un buen espónsor, organizaré estancias para obesos en el barco. Con resultados garantizados. Tengo una fijación estos días -señaló en una conexión de radio- voy a quitar la palabra alga de mi diccionario». Ayer, este marino fuera de serie llegó a Les Sables d’Olonne a bordo de su barco azul, como un nuevo Ulises con aparejo de fortuna. Poco importa que haya tardado un mes más que el ganador Desjoyeaux. Entre los habitantes de ese mundo paralelo que se pasea por espigones y pantalanes para mirarse en el espejo del mar, el nombre de Yves Parlier permanecerá cosido para siempre en la memoria |
| 4 Cofrades agradecieron a REIRA este mensaje: | ||
![]() |
Ver todos los foros en uno |
| Etiquetas |
| imoca 60, regata en solitario |
| Herramientas | |
| Estilo | |
|
|
Discusiones similares
|
||||
| Discusión | Iniciada por | Foro | Respuestas | Último mensaje |
| Barcos de la Vendee Globe.... | Vira-Concha | Foro Náutico Deportivo | 6 | 11-01-2008 14:59 |
| Unai Basurko en la Vendèe Globe | kaia | Foro Náutico Deportivo | 21 | 27-12-2007 16:34 |
| Vendee Globe´08 | aguillolo | Foro Náutico Deportivo | 1 | 25-10-2007 20:08 |
| Vendee Globe 2008 - Unai Basurko | iorpi67 | Foro Náutico Deportivo | 17 | 20-09-2007 23:49 |
| ¿Zidane en la Vendée Globe? | Sailor | Foro Náutico Deportivo | 0 | 08-02-2007 19:05 |